Au delà de l’autorisation d’absence accordée le jour de l’incendie aux personnels, il importe de fournir des analyses certifiant de la non-toxicité des substances disséminées. A défaut, tout agent peut faire valoir son droit de retrait.
Nous soutenons l’initiative de notre représentation du personnel au CHSCT de Seine-Maritime dans son dépôt d’un droit d’alerte, afin de permettre aux agents d’exercer leur droit de retrait.
Au 02/10, plusieurs agents des douanes, dont des cadres occupant des postes à responsabilité, ont fait valoir leur droit de retrait.
Droit de retrait qui sera valable jusqu’à la fourniture d’analyses certifiant de la non-toxicité des substances qui ont été disséminées (dans l’air, l’eau et les poussières résiduelles).
Notre communiqué du 26/09/2019 "Ne pas reproduire Notre-Dame de Paris", et les échanges avec le Directeur/président du CHSCT relatifs à notre droit d’alerte et notre demande d’analyses :
Les communiqués de SOLIDAIRES Seine-Maritime (SOLIDAIRES 76), de SOLIDAIRES Industrie et Développement Durable et du syndicat SUD Chimie (membre de l’union syndicale SOLIDAIRES), des 26 et 27/09/2019 :
Le modèle de signalement de danger grave et imminent :
Les fiches de l’union syndicale SOLIDAIRES sur le droit d’alerte et le droit de retrait :
http://www.solidaires-douanes.org/droit-alerte
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Les textes publics (préfecture Seine-Maritime, Ministère développement durable) sur l’usine Lubrizol (cliquer également ici), de 2003 à 2019 :
Le communiqué d’ATMO Normandie, association officielle chargée de la surveillance de la qualité de l’air, du 29/09/2019 :