En introduction au groupe de travail Surveillance qui s’est tenu à Nantes le 26 avril dernier, Solidaires a tenu a dénoncer une situation critique pour de nombreuses unités surveillance de l’interrégion :
Le respect d’un contrôle renforcé, initié par la France, et que l’administration ne peut (ne veut ?) pas assumer... Ils sont où les moyens promis ? Pour cent briques, t’as plus rien ...
Et pour 45 millions ? Pas beaucoup plus il faut croire...
La déclaration préalable :
Et la note reçue citée dans la déclaration :